Ne vivant pas avec mon Maître, et fêtant Noël en famille, Mon maître m’a proposé de nous faire une petite soirée ensemble le 23 au soir. J’ai bien sûr acceptée avec plaisir !

Je lui ai demandé ce que je devais préparer, et il m’a répondue -« je m’occupe de tout cette fois ci, attends moi comme d’habitude, nue, mais fais toi belle, maquillage et coiffure »

Le jour même, maître m’envoie un texto « Je serai là pour 18h30, soit prête »

Comme j’étais en vacances, j’ai eu tout le temps de me préparer. Je me suis délassée dans un bon bain chaud, puis j’ai pris soin de me maquiller, discrètement, comme il aime. J’ai ensuite passé une bonne heure à me coiffer…petit chignon et mèches qui tombent, que j’ai frisé légèrement. J’étais contente du résultat. Quand mon Maître est arrivé, je l’attendais nue et a genou, comme d’habitude. Il m’a tendu la main et m’a dit :

-« relève toi, ce soir c’est notre soirée »

Puis il m’a pris dans ses bras et m’a embrassée. Il m’a regardée et m’a dit : « Tu es très belle ce soir ! » Il a ensuite sorti un paquet de son sac « C’est pour toi, va t’habiller »

Surprise, je prends le paquet et dit « Merci Maître »

Là, je découvre un beau corset blanc, en dentelles des bas couleur chair et une petite robe beige, col flottant, évasée. La tenue m’allait très bien, mais je trouvais la robe un peu trop courte. Mon Maître lui, était ravi ! Il m’emmena au restaurant et m’offrit un dîner des plus romantiques ! J’étais aux anges !!! A la fin du repas, il me propose d’aller prendre le café chez un ami a lui, que je ne connaissais pas… J’avoue que je n’en avais pas du tout envie ! J’espérai passer le reste de la soirée dans ses bras à être câlinée.

Je fais un peu la moue mais ne dit rien. Dans la voiture, il me regarde et me demande

-« quelque chose te déplait ? »

-« je ne veux pas aller chez ton ami ce soir, je préfère en profiter avec toi »

Aie…je suis allée trop loin… Mon Maître me prends par les cheveux, approche mon visage du sien

-« tu ne veux pas ? Depuis quand le verbe vouloir fait parti de ton vocabulaire ? »

« Pardon Maître »

Il me lâcha, me caressa les cheveux et avec un petit sourire me dit

« Ne t’inquiète pas, tu vas en profiter »

Je compris à ce moment que la soirée ne faisait que commencer. Mon Maître avait planifié le tout…bizarrement, je me sentais anxieuse de connaître la suite….anxieuse, mais déjà excitée ! Mon Maître venait de me remettre à ma place, et dieu que j’aime ça !!!!

Au bout d’une vingtaine de minutes, on arrive dans une maison de campagne, un peu isolée, entourée d’un grand jardin. L’ami en question vient nous ouvrir…. Quelle surprise ! Je me retrouve face à un homme cagoulé, habillé en marron, une cape noire sur les épaules bottes et gants noirs

« Je te présente le père fouettard »

Cela a été plus fort que moi, j’éclate de rire !!! Sans un mot, père fouettard m’agrippe le poignet et me mène dans le salon, m’attache les poignées à une chaîne pendue à une poutre.

« Je vais te faire passer l’envie de rire »

Mon Maître passe derrière moi et me susurre à l’oreille, d’une voix ferme

« Arrête de me décevoir, comporte toi comme il se doit ! »

Ces quelques mots stoppent mon fou rire d’un coup. Je baisse la tête. Puis mon maître me retire ma robe, je me retrouve en corset, et en bas, sans culotte devant cet inconnu…je me sens gênée… Ce dernier prends un martinet et commence en douceur à me « réchauffer » Petit à petit les coups deviennent plus fort…. Je commence à me tortiller, mais évite de gémir, sentant le regard de mon maître posé sur moi….

« Passons aux choses sérieuses maintenant ! Pour avoir rie, tu auras droit a 10 coups de fouet ! »

Mon maître rajoute : « compte ! »

J’entends le fouet claquer derrière moi, plusieurs fois…je sursaute à chaque coup, mais aucun ne me touche

« Elle est moi fière maintenant ! »

Le fouet m’effleure plusieurs fois, puis le premier coup ! Je crie

« Compte ! » la voix de mon Maître résonne

« Un » j’essaie de reprendre mon souffle…puis « deux », je me tortille dans tous les sens, « trois » les larmes arrivent, je me contrôle je sers les dents…. « Quatre….cinq…six…. » Je laisse couler les larmes… « Sept…huit…neuf…dix » je crie à chaque coup ! Mon Maître vient me détacher je remercie père fouettard Ces messieurs s’installent sur le canapé pour boire le café. Mon Maître me fait signe de m’installer à ses pieds. Je m’exécute. On me propose une tasse que j’accepte volontiers. On discute un peu, puis père fouettard demande « A-t-elle une expérience de pony ? »

-« non » réponds mon maître

« Bon, nous allons voir ce qu’elle vaut »

Je regarde mon Maître d’un air implorant ! Je n’ai pas du tout envie de jouer à ça moi !!!!

-« obéis » est la seule réponse que je reçois. Je baisse les yeux.

« Tu ne seras pas pony ce soir, mais un renne ! » me dit père fouettard, en me mettant un sert tête assorti de bois sur la tête. « J’ai un carton à chercher dans ma remise au fond du jardin, tu vas m’y conduire »

Dans le jardin, une luge à roulette est déjà prête. Mon Maître m’y attelle et me dit « A tout à l’heure et bonne ballade » Je lui jette un regard furibond

«Il rie et me dit

« On réglera cela en privé »

Et me voila en train de tirer le père fouettard sur son gazon, en petite tenue ! Quelques coups de fouets m’ont fait accéléré…je fulminais ! Arrivé à la remise, père fouettard sort son carton et me dit en souriant « C’est pour toi »

Mais qu’a-t-il encore inventé ? De retour au salon, mon Maître propose une douche pour me réchauffer…et me voila allongée dans la baignoire, ces deux messieurs en train de m’uriner dessus ! Le temps que je me rince et me sèche, père fouettard avait ouvert le carton…dans lequel se trouvait des guirlandes !!!

« Je veux un second sapin ce soir » me dit il en me regardant. Et, il m’ordonne de me poser entre les deux fauteuils, debout, les bras en l’air Maître et Monsieur s’amusent à me passer des guirlande de partout et m’accrochent deux boules aux tétons ! Je me sentais totalement ridicule !!!!! Ils ont ensuite allumé deux bougies que je devais tenir, puis se sont servi une coupe de champagne…pendant qu’ils buvaient, discutaient, et surtout m’ignoraient, la cire coulait sur mes doigts et je commençais à avoir des crampes aux bras ! Au bout d’un certain temps, père fouettard propose à mon Maître

« On la libère ? »

Mon Maître acquiesce ! Ouf !!!! Pour finir la soirée, ces messieurs m’ont demandé une gâterie demande a laquelle j’accédais sans soucis. Une fois dans la voiture, Mon Maître me prend dans ses bras, me câline un moment et me dit

« Toi qui désirais connaître l’humiliation, joyeux Noël ma soumise ! »

Une larme coula sur mon visage… larme de bonheur….

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